Ma première plume

Aujourd’hui je vais à l’école comme tous les jours. Je traverse le passage piéton et je marche quelques mètres. Je pousse la porte de l’école et la sonnerie retentit. A cet époque je n’aime pas top l’école même qu’une fois, en première année, je me suis échappé de l’école.
 

Bref, j’arrive devant ma classe,  j’enlève mes chaussures que je pose sur la grille et ma veste que je pose sur mon petit crochet au-dessus du quel est écrit mon prénom. Je rentre en classe, je dis bonjour à la maitresse et je vais m’assoir à ma place. Juste après moi, il y a Gauthier qui rentre dans la classe. Gauthier c’est mon meilleur ami et aussi mon voisin de table. Il arrive lui aussi à sa table et prépare ses affaire pour travailler. En attendant que les autres élèves entrent en classe, on commence à parler:
 -Hé, Matteo! Tu as vu le carton sur le bureau de la maitresse? 

-Ah ouais, j’avais pas vu. Tu penses qu’il y a quoi dans se gros carton? je lui demande. 

-Chépa, aujourd’hui on doit faire de l’écriture, non? 

-Oui, je crois. 

 La maitresse va fermer la porte et commence à parler: 

-Aujourd’hui on va faire de l’écriture mais pas comme d’habitude. Vous savez avec quoi on va écrire? 

Une autre personne de la classe lève la main et la maitresse l’interroge. 

-On va écrire avec une plume? propose la personne interrogée. 

-Exactement.

La maîtresse marche jusqu’à son bureau. Elle prend le carton et l’ouvre. Dedans il a plains de plumes toutes nouvelles plumes toutes belles. Elle commence à nous les distribuer. En le faisant, elle précise bien:

-Faites très attention c’est très fragile.

Une fois que je l’aie dans les mains, je la regarde attentivement. Après quelque secondes, je l’ouvre et je vois un très beau bec tout près à écrire. Gauthier et moi on se regarde et on découvre qu’on est les deux aussi fascinés l’un que l’autre. 

-Prenez vous cahier d’écriture! dit la maitresse. 

Je me baisse pour prendre mon cahier. Je me relève l’ouvre et commence à écrire. Écrire avec cette plume c’est bizarre. Le bec s’écarte pour laisser couler l’ancre qui coule on veut pour former des lettre magnifiques. 

 Matteo