Visite au musée d’ethnographie – À le recherche du secret de la mort

Jeudi, 13 décembre 2018.
Ce jour, nous avons quitté notre ville, le Mont, pour découvrir le secret de la mort…
Notre classe est partie en sortie à Genève pour visiter le musée d’Ethnographie.
Pendant notre visite, nous avons eu la chance d’avoir un guide pour nous expliquer l’origine de leurs objets.
Il nous a raconté que, dans la religion bouddhiste, la mort n’était qu’un passage au Nirvana.
Et dans le passé, les chefs de village ont ordonné de faire une sorte de mannequin qui leur ressemble pour mettre leur cadavres dedans.
Il y a eu même des tributs sauvages qui ont sacrifié des personnes pour les offrir à leur dieu.
En fin compte, j’ai appris que chaque religion donne une signification différente de la mort.

Daniel

Visite au musée d’Ethnographie – La tête Jivaro

Nous sommes allés visiter le musée d’Ethnographie où nous avons vu
une tête Jivaro. Ce peuple, en temps de guerres tranchait la tête des guerriers ennemis vaincus. Car ils croyaient que tout être vivant avait deux états d’âmes: l’âme vengeresse et l’âme guerrière.
Ils avaient peur que l’esprit vengeur vienne les hanter chez eux. Ils rapportaient les têtes chez eux et les vidaient de tous leurs os et organes. Puis ils remplissaient la tête de galets et ils la trempaient dans une sorte de bouillon de légumes pour la faire rétrécir. Ensuite, ils lui cousaient la bouche et les yeux pour que l’âme ne puisse pas sortir. Pour finir, après quelques incantations, ils laissaient la poupée quelque part dans leur maison et s’en servaient comme élément de décoration.

Arthur

Sortie au musée d’ethnographie – Visite du musée des morts

Jeudi dernier, nous nous sommes dirigés au musée d’Ethnographie. On est allé en train et pendant le trajet nous avons joué à « Poker face », le but est de faire des blagues et il ne faut pas rigoler. Quand nous sommes arrivés, nous nous sommes directement rendus au musée. Le guide nous a d’abord expliqué que Ethnographie voulait dire description du peuple. Puis, il nous a parlé d’une recette de cuisine: le « Tsantsa ». En premier, il faut couper la tête de quelqu’un que vous n’aimez pas trop. Puis il faut la vider avec une petite cuillère en bois, ensuite on enlève la peau et pour finir il faut mettre la tête dans l’eau. Attendez environ deux heures et la tête aura rapetissé. Puis après, il nous a laissé du temps libre pour visiter le reste du musée.

Kevin

Visite au physiscope de Genève – Les Couleurs

La personne qui nous servait de guide nous a expliqué qu’il y avait une infinité de couleurs
et que notre oeil ne voyait que le vert, le bleu et le rouge. Il nous a
dit que le noir et le blanc étaient des nuances, c’est-à-dire que le
blanc renvoie toutes les couleurs et que le noir les absorbe toutes.
Puis, on a fait une expérience où il a fallu faire un puzzle sous des lumières
de couleurs différentes. Plus tard, nous sommes repartis.

Louis

Jules

Jules possédait une petite boîte, il avait cette boîte depuis ses onze ans. C’était sa version à lui de la boîte de Pandore, l’ouvrir pourrait ravager son monde… ou du moins son lycée. Il avait de quoi faire tomber les plus hauts. Il savait que des tas de gens seraient heureux de les voir chuter. Depuis ses onze ans, il prenait soin de rédiger chaque horreur que commettaient ses ennemis.
Des horreurs restées secrètes étaient sur le point d’être révélées. C’était le moment d’agir, cinq ans à supporter ces imbéciles… C’est pour ça que Jules a pris sa fameuse boîte et l’a ouverte. Elle contenait six lettres; sur l’une il avait écrit: « 26 septembre, Mia et Cassandra ont fait la misère à Flint aujourd’hui… elles ont détrempé ses affaires, détruit ses chaussures et l’ont poussé dans le canal. » Sur une autre; « Mia et Fred ont ridiculisé Christophe aujourd’hui, 27 septembre 2046, ils l’ont poussé et frappé une fois qu’il était à terre, ils ont écrit des insultes sur sa place et l’ont suivi jusqu’à chez lui. » Il avait assez attendu, il devait mettre les lettres dans son sac et aller en cours pour les donner au principal.

Benoît

La page arrachée

Qu’est-que tu dis, il n’y a rien dehors!
Mais je te jure, j’ai vu un truc bouger!
ça ressemblait à quoi?
Ça avait quatre pattes, une queue et des yeux rouges!
Mais c’est un chien, réfléchis deux secondes!
Non je te jure, ce n’était pas un chien, ça avait des piques sur le dos.
C’était des branches, arrête d’être parano!
Mais je te jure!
Tu m’énerves, va te coucher!
Tout en tremblant, Michael va se coucher, il n’arrive pas à dormir.
Mais tout à coup il y a un énorme bruit.
Sarah court à l’étage en entendant les cris de son frère mais elle ne trouve aucune trace de Michael.
Elle voit la fenêtre ouverte.
Puis le garçon sort de derrière la porte et saute sur sa soeur en faisant un grognement digne d’un chaton.
La fille crie mais le garçon commence à rigoler.
Je t’ai bien eue! dit Michael.
Ne fais plus jamais ça, la prochaine fois je t’étripe!

Loghan

La page arrachée

Je me levai tranquillement de bon pied. Je descendis pour aller déjeuner. Je me préparai pour aller comme tous les jours à l’école. Mais je sentai que ce jour allait être spécial, j’étais en retard pour l’école donc je ne fis pas plus attention. À la fin de la journée rien de spécial n’était arrivé.
Je rentrais tranquillement quand je vis une feuille déchirée de cahier se faire porter par le vent de l’automne.
Je décidai de l’attraper.
Et je commençai ma lecture:
« Que la, ou les personnes qui lisent ses phrases viennent m’aider. Ce message est un message d’urgence. Mes élèves me maltraitent en écrivant des textes d’horreurs qui parlent de meubles hantés, de suicide ou de décapitation. Venez m’aider pour stopper cette vague d’élèves qui écrivent des textes d’horreur qui me font faire des cauchemars effroyables…
Venez à l’école du Ch. du Mottier,1052 Le Mont-sur-Lausanne.
Mme Grivet. »

Pascal

La page arrachée

Ophélie sortit de chez elle prendre l’air. Ce n’était pas possible. Il n’avait pas le droit de lui faire ça. « Ah, comme la vie est belle…non ? »
Il avait dit ça pas plus tard que la semaine dernière alors qu’ils étaient en train de discuter et pourtant…
Aujourd’hui, cinq heures du matin, coup de téléphone et pleurs. Il s’était suicidé. Ophélie ne pouvait pas y croire. Non. Ce que la police avait déduit était faux. Tout était faux. Elle s’assit sur un banc. Il était froid. Comme elle. Comme son pauvre coeur glacé, meurtri, déchiré. Elle l’aimait en secret mais n’avait jamais osé le lui dire. Elle se leva, ayant assez réfléchi et marcha en direction de son appartement. Dans le parc, les feuilles tombaient comme un tourbillon de feu. Elles enflammèrent son coeur, lui redonnant de l’espoir. La jeune fille inspira. Elle avait pris sa décision.

Marie

Le pire est à venir – Chapitre 1

Depuis le début des temps, les oiseaux étaient les animaux les plus libres du monde.

Leur talents de pouvoir voler les rendaient uniques.

Horus, lui aussi était libre.
Il admirait ses créatures.

Malheureusement, tout a mal tourné quand « il » est arrivé…

Plus personne
Ni Horus, ni les oiseaux, ni même son pays.
« Il » a arraché les ailes des esprits les plus saints.

Leur pays entier était perdu dans le désespoir.
Horus n’en pouvait plus.
Il devait faire quelque chose.

Horus, l’ange aux ailes arrachées a créé une rébellion.
C’est cette rébellion qui allait libérer ce pays.

Le soir, les membres de la rébellion se sont infiltrés dans le palais du dictateur.
Ils allaient enfin découvrir le secret,
Et grâce à ça, ils allaient enfin libérer leur pays.

Ils ne savaient pas,
Que le trou du lapin était bien plus profond…
…Le pire étais à venir…

Cette histoire est basé de mon pays d’origine, le Venezuela.
Là-bas, a habité plusieurs dictateur.
Chaque élection, il triche pour rester président et, tous les jours, des dizaines de personnes sont tuées par la police.
Cette rébellion qui aurait libéré ce pays n’a jamais existé.

Daniel

La vallée de l’agonie blanche

Nous sommes en 1866 à Dawson City à l’époque de la ruée vers l’or.
Cette ville du Klondike (région d’ Amérique du nord) n’avait jamais été
autant surpeuplée: des personnes venues des quatre coins du
monde espérant rentrer chez-eus les poches pleines d’or faisaient une halte
dans cette ville avant de partir dans les collines.

Tous ceux qui parvenaient à devenir riche se faisaient plumer aux jeux.
Mais, parmi tous ces chercheurs, un seul parvenait à ne pas se faire avoir aux jeux. Basile qui venait d’Amérique du Sud avait traversé le pays tout entier pour venir jusqu’ici et ne comptait pas rentré chez-lui les mains vides.
En effet, dès le lendemain, Basile partit à l’assaut des collines.

Il marcha pendant des heures, croisant d’autres chercheurs d’or ainsi que quelque rares habitants des collines. Quand tout d’un coup, Basile aperçut
une grotte au pied d’une colline. Il s’en approcha et s’y engagea.
Eclairé d’une torche, il avançait dans les profondeurs glacées de la grotte.
Après des minutes qui parurent des heures, Basile aperçut enfin de la lumière dans la glace et la pierre qui formait la grotte.

Il se précipita vers la lumière et fut émerveillé par la beauté du paysage:
des forêts à perte de vue, des animaux sauvages au pelage soyeux et pour
couronner le tout une énorme cascade d’eau. Jamais la nature ne parut aussi belle: il l’avait trouvé, le rêve de tous les chercheurs d’or. Depuis ce jour
Basile est devenu l’homme le plus riche de son époque et décida de baptiser
cette vallée: la vallée de l’agonie blanche.

Arthur