Le beau temps laisse place à la pluie, qui ramène avec elle la mauvaise humeur. Je regarde passionnément l’endroit où je t’ai attendue sous cette même pluie et me dis qu’aucune goutte n’arrivera à égaler les larmes que j’ai versées à ta pensée. Je marche en attendant que cette partie de mon oxygène se consume tout en admirant les larmes des étoiles couler. Car tu oublieras chaque larme que je t’ai donnée comme tu as oublié chaque parole que je t’ai adressée.
La pluie laisse place à la réflexion qui laisse place aux larmes. Comme le soleil qui se mélange à la pluie en donnant vie à cet arc-en-ciel, j’aimerais être pur.
Lorenzo