En une larme j’oublie ce que c’est d’être, mais en un regard tu me ramènes à la vie.
Car au fond, chaque larme versée est un péché lavé. Mais aucune larme ne pourra excuser les actes qui ont fait que désormais seul le vide me complète.
L’envie d’exister disparait lors d’un détournement de regard.
L’envie de t’aimer s’intensifie lors d’une caresse.
Car seule ta personne me maintient en vie.
Lorenzo