Fabrique de chocolat

Le lundi du Jeûne, mes parents, des amis et moi sommes allés à une fabrique de chocolat.
Nous commençons à visiter le musée et c’est très intéressant.
Quand tout à coup nous voyons quelque chose qui attire notre attention… Une fontaine de chocolat ! Il y en a une avec le praliné et une avec le chocolat qui va autour du praliné. Miam! On peut en prendre autant qu’on veut. Après avoir mangé beaucoup de chocolat, nous continuons la visite. On peut faire des photos, dessiner et faire pleins d’autres activités. À un moment donné, tout le monde part un peu plus loin sauf l’ainée du groupe et moi. Nous nous regardons et nous courons en direction de la fontaine et nous recommençons à manger. Les parents ne nous ont pas démasquées.
Ensuite, quelqu’un nous montre comment les machines marchent mais avec une mini machine et à la fin, elle nous dit qu’on peut manger autant de chocolat qu’on veut car on est les derniers à visiter la fabrique. Mais nous n’avons plus faim et nous devons rentrer à la maison car demain il y a école.

Virginie

La Flemme

Vu que nous avons la flemme de faire des rimes, nous allons faire un texte sans rimes.

La flemme est plus forte que tout, elle envahit le monde.
Ça empêche de faire des chose utiles, comme…
Bah j’ai la flemmmmmmmme !!!!!

Nadia et Virginie

Bonjour

Tous les mardis, on rentrait à pied pour manger ensemble.
Ça commence là, devant une maison abandonnée depuis des années que tous les enfants du quartier appellent « La Maison hantée ». On marche tranquillement sur le trottoir, quand on voit un homme sortir par le portail de cette propriété. Il est jeune, et habillé de manière décontractée.
Nos parents nous avaient pourtant bien dit de ne jamais parler aux inconnus, mais là, nous avions oublié cette règle.
— Bonjour, dit Virginie, vous habitez ici ?
— Non, j’habite juste derrière mais je suis passé par là parce que c’est plus rapide. Et vous deux, vous habitez où ? demande-t-il avec un sourire mêlant l’hypocrisie et la gentillesse.
C’est là que nous nous sommes rendu compte de notre erreur, et avons commencé à douter.
— Par là, par là, dit Nadia.
— Par là, par là, complète Virginie.
— Bon, au revoir les filles !!
Au moment où il se retourne, nous voyons qu’il porte une hache sur son dos Mortes de peur, nous avons commencé à courir discrètement, pour qu’il ne nous entende pas.

Tout ce qu’on a écrit s’est vraiment passé, et on voulait l’écrire pour rappeler à tout le monde de ne pas parler aux inconnus, pas finir traumatisées comme nous…

Virginie et Nadia

Parking

Nous arrivons au parking de l’Arena pour le concert que nous attendons depuis deux mois. Ma voiture est toute petite et cabossée vu que je ne sais pas bien conduire.

Quand tout à coup, j’entends les sorties du parking se fermer toutes en même temps et à l’entrée un grillage descend. Quand tout à coup une main se pose gentiment sur mon épaule, je me retourne et en fait c’était Virginie qui flippait. Comme si ça ne suffisait pas, un homme vêtu de noir avec les cheveux sombres, les yeux fusillants et les mains pleines de sang, se rapprochait de nous alors que toute les portes étaient fermées. Nous nous sommes cachées derrière une voiture, Anna s’est retournée et a vu une ombre, c’était l’homme que nous avions vu 10 secondes auparavant. Mais cette fois avec une hache dans la main…

Méline, Anna et Virginie