L’apocalypse

Si l’apocalypse a lieu, cela pourrait être la troisième guerre mondiale, avec des
bombes atomiques qui détruiraient tout et les seuls
refuges seraient les bunkers anti-atomique. Il pourrait également y avoir
des trous dans la couche d’ozone et toute l’oxygène
partirait dans l’espace et tout le monde mourrait à cause du manque
d’oxygène. Il y aurait peut-être aussi la gravité qui disparaitrait
et nous serions emportés et nous gèlerions dans
l’espace. Il pourrait y avoir un cataclysme où tous les volcans
se réveilleraient et détruiraient la terre. Des millions de tsunami pourraient faire
couler tous les continents et tous mourraient noyés. Il se pourrait qu’un virus
sorte des laboratoires de sciences qui travaillaient sur des bactéries très dangereuses qui
pourraient tuer tout le monde. Il pourrait y avoir des aliens qu’on aurait réveillés en allant sur
Mars et qui nous attaqueraient pour nous prendre comme esclaves.
Voici ma vision de L’apocalypse

Louis

L’île

Il y très longtemps, je me suis retrouvé coincé sur une île perdue. En premier j’avais réfléchi: qu’est-ce que je peux faire? Oh je sais! Il faut chasser, je l’ai vu dans mon film préféré. Alors je suis parti dans la forêt pour trouver de quoi manger, et j’ai trouvé plein de baies alors je les ai toutes mangées.
J’ai trouvé une grosse bête elle n’avait pas l’air méchant, du coup je l’ai caressée, elle m’a mis un énorme coup avec sa queue. J’ai été éjecté de la falaise et, quand j’ai atterri, je me suis écrasé contre un rocher en faisant: Heu?!
J’ai tapé mon clavier tellement fort qu’il sait cassé.

Marc et Louis

Il neige

Aujourd’hui il neige.

Le truc c’est que là je suis sur une chaise en train de travailler ou de m’ennuyer, ça dépend de quel point de vue je le vois.

J’ai tellement envie d’aller jouer dans la neige!

Et là je prie pour que le soleil ne fasse pas fondre la neige.

Louis

Visite au physiscope de Genève – Les Couleurs

La personne qui nous servait de guide nous a expliqué qu’il y avait une infinité de couleurs
et que notre oeil ne voyait que le vert, le bleu et le rouge. Il nous a
dit que le noir et le blanc étaient des nuances, c’est-à-dire que le
blanc renvoie toutes les couleurs et que le noir les absorbe toutes.
Puis, on a fait une expérience où il a fallu faire un puzzle sous des lumières
de couleurs différentes. Plus tard, nous sommes repartis.

Louis

L’Argent

C’est la chose que tout le monde adore à tel point
qu’il serait prêt à se battre pour en avoir.
Il y a des gens qui en ont plus, est qui l’utilise pour n’importe quoi
et d’autres qui n’en ont pas assez pour vivre et qui vivent dans la misère.

Louis et Arthur

Benno le chat

Mon nom est Benno, je vis en Suisse romande. Enfin au Mont. Ici je m’y plais bien. J’ai quatre maîtres mais un qui me plait particulièrement: il s’appelle Louis. Il est très sympa : le soir il me laisse dormir avec lui. Son lit est tellement confortable que je m’y endors très vite. Après il y a deux terreurs: sa soeur Mathilde et son frère David, lui encore ça va mais quand ils jouent ensemble c’est la catastrophe: ils amusent à me porter, ce qui ne me plait pas du tout. Il y a aussi Nadège. Très sympas avec moi et il y a Eric très gentil mais sévère. Grâce à lui je ne fais plus mes griffes sur le mur. J’ai une copine aussi: Cannelle. Elle est très agile mais elle est folle. Quand elle est fatiguée, et qu’elle dort avec moi, je la trouve différente.

Un jour, alors que je me lève pour aller dire bonjour à Eric et à Louis, je vois un chat. C’est le chat que Mathilde préfère, je le déteste. En plus il a le culot de venir se frotter à ma maison. Il a un petit nom: « Bébé Pachmina ». Ridicule! Je passe à côté de lui mais il ne bouge pas. Je vais à la fenêtre et Louis m’ouvre et je rentre et il me sert un verre de lait.

Louis

La page arrachée

Le gamin à ma droite tremblait à en faire tomber les feuilles d’un arbre. La créature devant moi me faisait terriblement peur. Il était grand, il avait de grands bras terminés par de longues griffes. Il s’avançait vers moi à pas lourds. Alors je pris mes jambes à mon cou. L’enfant était petit, je faisais une tête de plus que lui, il transpirait transpirait à grosses gouttes. Il s’en alla vers la forêt qui était derrière nous.
J’allais partir en courant lorsque je me rappelais que le monstre qui se trouvait devant moi
n’était en effet qu’un Pokémon. Alors je sortis la Pokéball de mon sac et je l’envoyai sur
le Pokémon. Puis la Pokéball roula à côté du Pokémon et le monstre se fit aspirer dans la balle, mais il en ressortit. J’allais me faire manger, dévorer pour pourrir ici sans que personne ne se souviennent de moi. Mais non, la créature se fit réaspirer dans la Pokéball et je lâchai un soupir de soulagement.

Louis

Le Dimanche

Le jour du repos, le jour où
l’ont fait la grâce matinée jusqu’à
9 heures. Le jour où sortir de son lit
est une torture. Le seul moment où sortir
du lit n’est pas une torture, c’est le moment
de manger.

Louis

Vendredi

Le jour du malheur, le jour où
l’on peut mourir de tout et de rien.
Le jour où n’importe quoi peut tomber
sur la tête de quelqu’un comme un pot de fleur
qui arrêterait une vie en une seconde.

Louis