Comparable

La vie c’est comme un tunnel : on ne sait pas quand ça se finit.

Un ami c’est semblable à l’avenir : on ne peut pas le prédire.

Une arme c’est comme la chance : à force de l’utiliser elle s’enraye.

Le bonheur c’est pareil à un père : il n’est pas toujours là.

L’amour c’est comme le Père Noël : quand on grandit, on n’y croit plus.

La musique c’est pareil à un tsunami : ça nous emporte.

La défaite c’est comme le café : c’est très amer.

Un arbre c’est similaire à un animal : on en a besoin mais on le tue.

Eliya

Comparable

Mon lit c’est comme un nid, il est douillet.

Mon vélo c’est comme mon bébé, je le berce .

Ma chambre c’est comme mon refuge, je me sens en protection.

Les jeux de rôle sont comme une deuxième vie, c’est nous le maître de l’histoire

La vie c’est comme un frisbee, ça part en vrille.

Mes chats sont comme des boules de poils

La fondue c’est comme l’amitié, ça se partage.

Louis

Le Paradis sur une île

Je rêverais un jour de vivre sur une île paradisiaque car je voudrais voir le sable fin juste en face de ma maison avec la mer bleue étincelante. Et j’aimerais ressentir cette sensation d’humidité sur ma peau. Tous les jours j’irai faire une plongé sous l’eau pour voir des requins, des raies et des requins baleines. Je mangerai tous les jours des fruits et du poisson. Je ferai des fêtes au bord de la mer. Bref je voudrais juste être heureuse et être détendue et moins stressée…

Naomy

Le Monde

Depuis que je suis petite, je veux faire le tour du monde.
J’en ai marre de la Suisse, je veux voir plus de merveilles de ce monde:
Plus de plats différents,
Plus d’épices,
Plus d’animaux,
Plus de monuments,
Faire plus de rencontres,
Avoir plus d’expériences,
Essayer plus de loisirs,
Je veux finir l’école dans ce pays, et voir le monde avant que ce ne soit trop tard.

Salma

Amandine 1

Un groupe de deux garçons et de deux filles s’était invité pour faire une pyjama party. Installée dans le salon devant un film d’horreur, l’une d’entre eux était partante pour aller chercher un paquet de chips dans la réserve qui se trouvait au sous-sol. Amandine descendit à la cave pour prendre de la nourriture.

D’un coup, un cri strident se fit entendre. Suivi d’un bruit sourd et puis plus rien…

Brandon, le petit ami d’Amandine, descendit en courant tandis que l’autre fille, Sophie, terrifiée et resta en haut avec son copain.
Arrivé au sous-sol, Brandon vit le cadavre de sa copine allongé sur le sol.
Le visage de cette dernière, livide, le regardait avec le sang qui coulait de sa bouche.
Il cria de toutes ses forces et les autres s’arrêtèrent face à l’escalier.
Effrayée, Sophie se mit a hurler.
Brandon remonta les escaliers et là…

Sophie et Danny n’arrivaient plus à parler.
Danny murmura de terreur:

– d-d-derrière toi…

Brandon se retourna et vit un visage qui les fixait depuis tout à l’heure, caché derrière un rideau: sa peau blême, ses cheveux en bataille, ses yeux exorbités et son sourire sardonique.

Soudain la lumière s’éteignit. Sophie qui était la plus proche de l’interrupteur, se dépêcha de l’enclencher. Cet homme qui avait un air très psychopathe ne se tenait plus derrière Brandon, il avait disparu comme par magie. Ils passèrent leur fin de soirée au poste de police.

Ça faisait maintenant plus d’une semaine que ce meurtre avait eu lieu, vers la fin de la semaine Danny, Brandon et Sophie avaient prévu de déménager. Cette maison les hantaient.

Mais cette histoire n’est pas finie…

Jess et Chiara

Cache cache

Je m’étais levée pour aller boire de l’eau, il était aux environs de trois heures et demie du matin.
Je descendais les marches des escaliers avec mon doudou à la main, j’étais arrivée dans la cuisine, j’ai pris mon tabouret et j’ai pris mon verre, j’ai pris l’eau du robinet et j’ai bu.
J’allais monter les marches quand j’ai entendu quelqu’un qui parlait dans le salon. Au début j’ai cru que c’était ma mère mais non c’était quelqu’un d’autre.
Qui êtes vous? dis-je
La personne ne m’avait pas répondu. Je me rapproche d’elle quand je l’ai vue, c’était un petit garçon. De mon âge, je pense.
– On va jouer à cache cache, dit-il
– Je ne peux pas, je dois aller au lit.
Ce n’était pas une question! Maintenant que tu m’as trouvé ça va être à mon tour de te trouver. Je compte jusqu’à 20 et si je te trouve…

Yona

Toi

Toi, t’es rentré dans mon monde au moment où je m’y attendais le moins. Au début je ne voulais pas de toi mais après chaque minute, chaque seconde, chaque heure, je voulais les passer à côté de toi. Je ne voulais pas que tu me connaisses réellement car j’avais peur, peur de te perdre, la peur de te voir dans les bras d’une autre mais pour moi, nous, notre histoire est passée si vite que je me suis pas rendue compte que le temps passait.

Au tout début je ne voulais pas m’engager à être avec toi, à commencé à t’aimer, ce sentiment que je n’avais jamais vraiment connu auparavant. J’avais peur, oui, la peur que tu me laisses, que je commence à t’aimer et que ça ne soit pas réciproque.

Chaque soir j’attendais tes appels, tes messages. C’est là que je me suis dit que je commençais à m’attacher à toi et que c’était une mauvaise idée car je savais que du jour au lendemain tu allais partir. Mais je voulais prendre le risque de m’attacher et de t’aimer même si je savais que tu allais partir.

Je savais que j’allais me blesser mais je voulais quand même essayer, car je voulais être avec toi, parce que j’aimais ta présence et j’aimais aussi tes moindres défauts.

Mais toute histoire a une fin et c’était la nôtre, rien ne dure si éternellement pourtant j’ai cru le contraire mais je suis tombée de mon nuage.

Yoná

Comparable

Dormir c’est similaire à rentrer dans un monde parallèle: c’est là où on fait des beaux rêves.
La vie c’est semblable à un cauchemar: c’est moche et ça fait souvent peur.
Les amis c’est comme une pomme: à chaque coup de dents il y en a un qui part.
Une passion c’est semblable à un travail: il faut travailler dur pour pouvoir réussir.
Les maths c’est pareil aux problèmes: il y en a toujours plus et ça ne finit jamais.
Le mauvais temps c’est comme une journée de pluie: la tempête finit par se calmer.
Le monde c’est comme pour tout, il a une fin: au final il va disparaître.
L’amour c’est pareil qu’un sentiment: ça rend heureux et triste à la fois.
L’amitié c’est comme une blessure: ça fait mal quand on y tient.

Yoná

Comparable

Mon lit est pareil aux jeux videos: c’est dur d’abandonner.

Le dictionnaire c’est comme avouer: c’est dur de trouver les mots.

Les classeurs c’est comme ma bouche en classe: on les ferme dès qu’on a fini.

La guerre est similaire à la classe: on regarde toujours le mauvais coté des instructeurs.

Les livres ça ressemble à la vie: on est impatient de voir ce qu’il y a à la fin.

Les plaquettes c’est comme un homme: le nom s’efface une fois qu’elles disparaissent.

La mort c’est comme un vélo: on veut que ça aille vite et pas lentement.

La fondue c’est comme les boissons gazeuses: il faut que les gaz sortent au bout d’un moment.

Le loup-garou c’est similaire à la triche: on jette toujours un coup d’oeil chez le voisin.

Matteo

Le Futur

On se pose tous des questions par rapport au futur.

Mais personne n’a de réponse précise.

Nous on pense que la technologie va se développer encore plus.

Mais a part ça, comment sera notre relation avec les gens de cette école?

Comment va se développer notre enjeu professionnel ?

Et reverrons-nous nos amis actuels une fois que l’école sera finie?

Comment la Terre finira-t-elle avec toute cette pollution?

Est-ce que nous allons réussir à lutter contre le réchauffement climatique?

Aurons-nous des enfants ?

Où habiterons-nous?

À quoi est-ce qu’on ressemblera physiquement et mentalement ?

Serons-nous toujours heureuses ou notre vie basculera-t-elle ?

Comment allons-nous mourir?

Bon, il y a aussi des questions joyeuses qu’on se pose mais on a souvent la réponse à ça.

Léane et Chiara