Le Bruit

Nate dormait tranquillement quand il entendit un bruit suspect venant du sous-sol. Il mit ses chaussons et y alla. Le garçon essaya de s’y diriger le plus discrètement possible mais le parquet grinçant rendait la tâche compliquée. Il s’apprêtait alors à descendre l’escalier qui menait au sous-sol. Il ouvrit la porte, glissa son oeil et là, il vit que la machine à laver était allumée… Mais qui l’avait allumée? Nate n’arrivait plus à réfléchir, il décida de retourner se coucher. Et à côté de son lit se trouvait une ombre, un fusil à la main…

Kevin

Le Début de longues vacances

Elle était pressée, se dirigeant vers son travail. Elle entra dans le premier taxi qui passa. Elle s’attacha et le véhicule démarra. Son regard se posa sur un bout de journal coincé dans le fauteuil. Elle le sortit, par pure curiosité, et vit une annonce décrivant un tueur se baladant dans les villes de Paris. Elle demanda au conducteur de s’arrêter. Elle sortit de la voiture, voulant se diriger vers son travail, mais une main lui attrapa le bras. Elle vit la personne qui était dans l’article et poussa un cri horrifié ; mais c’était trop tard. Coup de poignard ou pas, elle aurait droit à un congé permanent.

Zofia

Le manque

Il avance vers ce cimetière, vers cette ombre qui le hante jour et nuit, vers elle. Il s’enfonce de plus en plus dans l’obscurité, se faisant guider par la lumière d’une bougie allumée posée sur la tombe qui lui rongeait l’esprit. Il s’approche, et l’éteint. La lune, seule lumière de la nuit, forme un croissant ressemblant à un sourire malsain. Il pose sa main sur la pierre tombale et la fait glisser jusqu’aux gravures qui indiquent le nom et la date de mort. Il ferme les yeux, et pense à cette personne chère qui lui a filé sous les yeux…Puis, il murmura : tu me manques, reviens.

Zofia

Nous

Nous nous baladons dans la forêt.
Nous arrivons devant une église.
Nous entrons dedans.
Nous ne voyons rien car tout est éteint.
Nous sortons de l’église.
Nous faisons le tour de l’église.
Nous revenons devant l’église .
Nous voyons que toutes les bougies sont allumées et qu’une fumée monte vers le
haut.
Nous sortons tous terrifiés. Dehors nous entendons les pas du monstre.

Louis

Le Prof gangster

C’était un mardi. Le professeur sortait de la classe comme à son
habitude avec sa grosse malle. Mais ce jour-là, je l’ai suivi.
C’est alors que, dans un quartier mal famé, il s’arrêta et je fus stupéfait de le voir sortir de sa grosse malle un fusil et une drôle de chaussette. En la regardant plus attentivement je me suis rendu compte qu’il
s’agissait en fait d’une …une cagoule!

C’est à ce moment-là que je me mis à paniquer: que faire?
Je réfléchis à toute vitesse. Quand tout à coup un policier passa par-là.
Les deux hommes se virent.Le policier dégaina et le le professeur prit brusquement son fusil. Je fermai les yeux, deux coups semblables
à des coups de tonnerre retentirent.

Je rouvris les yeux. Des gens accouraient de toute part. En baissant les
yeux, je vis les corps du policier et celui du professeur. Depuis ce jour, ce que j’ai vu a été imprimé dan ma mémoire à tout jamais.

Arthur

Christophe

Christophe, Christophe pour le célèbre Colomb foulant le sol de l’Amérique fier et heureux. Mais le sol que Christophe foule c’est celui du préau, honteux et désespéré. Colomb découvrant l’Amérique et une nouvelle culture, Christophe découvrant sa place recouverte d’insultes. Colomb rentrant sous les acclamations de la foule, félicité par le roi, Christophe rentrant sous les insultes de ses camarades.

Benoît

Béatrice

Béatrice est assise en pleurant, les assiettes brisées l’entourent, ses parents crient, son petit frère saigne. Elle regarde ses bras qui témoignent de sa souffrance, ses yeux de sa peine, ces taches bleues de sa douleur. Elle entend un bruit sourd, elle s’approche et trouve sa mère immobile sur le sol, son père à ses côtés…

Benoît

Amandine

Amandine imagine un ciel, la météo est instable tout comme sa vie et sa santé mentale, une perle roule sur sa joue, ses mains se crispent, sa mâchoire se referme violemment, elle ouvre ses yeux vitreux, se lève et saisit la main coupée un peu plus tôt à son infirmier.

Benoît

Parking

Nous arrivons au parking de l’Arena pour le concert que nous attendons depuis deux mois. Ma voiture est toute petite et cabossée vu que je ne sais pas bien conduire.

Quand tout à coup, j’entends les sorties du parking se fermer toutes en même temps et à l’entrée un grillage descend. Quand tout à coup une main se pose gentiment sur mon épaule, je me retourne et en fait c’était Virginie qui flippait. Comme si ça ne suffisait pas, un homme vêtu de noir avec les cheveux sombres, les yeux fusillants et les mains pleines de sang, se rapprochait de nous alors que toute les portes étaient fermées. Nous nous sommes cachées derrière une voiture, Anna s’est retournée et a vu une ombre, c’était l’homme que nous avions vu 10 secondes auparavant. Mais cette fois avec une hache dans la main…

Méline, Anna et Virginie