L’invasion 2

Après l’explosion, le sable gicla partout, dans tous les sens. Le commandant de la 29ème compagnie crie qu’il faut y aller! Mais pour moi, Daniels Parker, premier lieutenant de la 29ème, qui n’accepte pas d’y aller , c’est vraiment une honte.
Faut aller là ! Vous attendez quoi ? ALLER ! dit le général.
Oui chef, allez Ryan, on court à fond sans s’arrêter! Peut-être qu’on va survivre! dis-je à Ryan
J’ai peur ! J’ai pas envie de crever ici, pas maintenant, pas aujourd’hui. J’ai une famille moi, tu sais!
Je sais, mais on n’a pas le choix. C’est maintenant ou jamais, c’est ton choix! dis-je.
D’accord on commence par où ?
D’abord on doit semer ces mitrailleuses allemandes et jeter les grenades dans le bunker allemand du nord-est et pour la fin, on appelle…
Le Chopper* !
oui exactement ! Quand je dis « Go! » on court le plus rapidement, ok?
Yes Sir !
Je me suis levé toujours couvert de sable et je pique un sprint de toutes mes forces, toujours en me rappelant que j’ai 25 kilos de marchandises sur le dos. Je crois que j’ai jamais couru aussi vite de toute ma vie. Une fois arrivé dans une tranchée, je me suis fait attaquer par un allemand qui n’a pas d’arme mais il est courageux: il prend son casque et me frappe avec. Il ne faut pas oublier que j’ai un casque moi aussi donc je le prends et je l’assomme avec. Chopper arrive avec Ryan et deux de mes hommes. De l’autre côté, plus d’allemands viennent en force donc Chopper nous sort de la tranchée et va dans le bunker avec son lance-flamme et il commence son travail : brûler tous les soldats allemands vivants mais après avoir fini son réservoir de gaz, il se fait mitrailler dans le dos et explose.
À couvert ! crie Ryan.
Je prends une grenade par reflex et je l’envoie dans le bunker.
Grenade ! à couvert!
Je lance la grenade dedans mais l’Allemand la renvoie.
– Courez ! crie Ryan
Moi, Ryan et un des deux hommes échappons par chance. Mais l’autre homme se fait éclater par la grenade. Je cours vers lui mais il est trop tard.
Il est mort.
Mer**
Je prends ses plaquettes et je continue .

Matteo et Alexandre

Happy death

Depuis quelques jours, je reçois des lettres anonymes. Elles me font peur. Elles me disent des mots d’avertissement comme  « Ne sors pas de chez toi si tu tiens à ta famille » ou encore « Reste bien enfermée dans ta chambre.»

Et depuis quelques temps, mes parents ne sont plus là. La dernière fois que je les ai vus, ils parlaient dans le jardin avec un monsieur bizarre.

J’ai encore reçu une lettre qui disait: « Ne regarde plus par la fenêtre! » Je trouvais cela de plus en plus bizarre.

Cela faisait déjà trois jours que je ne pouvais plus sortir de ma chambre. Ce matin, en me réveillant, j’ai reçu une toute dernière lettre qui disait: « Sors vite de ta chambre et va voir dans la cabane du jardin si tes parents ne sont pas là-bas.»

Dès que je l’ai lue, j’ai couru dans le jardin. Quand je suis arrivée devant la cabane, tout était éteint. J’ai ouvert la porte, allumé la lumière et là… SURPRISE! Mes parents étaient là. Je me suis dit que c’était bizarre tout ça.

Alors je leur ai demandé: « à qui faites-vous cette surprise?»
Ils me répondirent: « à toi, bien sûr!»

– Mais c’est dans une semaine mon anniversaire! répondis-je. Et là, je vis un inconnu par la fenêtre du cabanon avec une pancarte à la main me souhaitant « HAPPY DEATH… »

Edma, Marina, Ardian

Mon serment

J’ai fait le serment de ne jamais dire mon secret. Il n’y a que mon ancienne amie qui le savait car oui, elle est morte cinq jours après.

Au début on pensait qu’elle avait sûrement une maladie…

J’avais appris le lendemain qu’elle était morte à cause de moi car je lui ai dit mon secret…

Mon secret est que je cohabite avec un singe. Oupsss je te l’ai dit! Prends bien soin de toi et dans cinq jours je viendrai à ton enterrement…

Olivia

La Lune et Le Soleil

Une légende raconte que la Lune et le Soleil étaient amoureux. Mais leur amour était impossible car la Lune brillait à la disparition du Soleil et le Soleil brillait à la disparition de la Lune, mais un jour dieu a décidé de créer l’éclipse pour nous montrer qu’aucun amour n’est éternellement impossible.

Yona

Cette chose effrayante

Je ne dors plus depuis que je l’ai vue.
Je ne dors plus car elle était si effrayante.
Je ne peux pas vous la décrire à part qu’elle fait très peur.
Je sais que vous allez voir les premières lettres de ces phrases comme mon histoire précédente mais non ceci est vrai.
Elle était devant mon lit. La lune reflétait son ombre qui donnait des frissons.
Pendant que je suis en train d’écrire, elle m’attend.

Eliya

La rencontre de mon ami

Un garçon parlait avec deux filles à côté du « Mottier D », mais il se sentait quand même seul parce que parler avec des filles tout le temps, c’est ennuyeux. Il n’a ni frère, ni soeur, dans sa famille.
Un jour, je suis allé chez lui, et nous avons commencé à parler ensemble pendant toutes les récréations. Plus je parlais avec lui, plus il se sentait ouvert. Le temps passait, donc mon nouveau copain m’a présenté ses amis qui n’étaient pas dans sa classe. Maintenant je le connais depuis une année et je joue avec lui et ses copains.

Arno

La page arrachée

Sa soeur avait beaucoup de mal à le croire.
Un monstre dans ton armoire ?
Oui ! répondit le garçon pétrifié de peur.
Les deux enfants étaient seuls chez eux, leur mère et leur père était au travail. Il était 20h Sam devait aller dormir mais c’était impossible. Il n’osait même pas aller dans sa chambre.
Marie tu peux venir ?
Sa soeur dont la tête était perdue dans un livre, arriva.
Tu veux que je regarde dans ton armoire c’est ça ?
Le garçon fit un signe de la tête. Marie décida de le faire. « Après tout, un monstre dans un placard c’est complètement débile » se dit-elle. Marie ouvrit la porte…
Wow des habits! Tu as trop d’imagination.
Le jeune garçon ne comprenait pas, il était sûr de ce qu’il avait vu. Il décida finalement d’allé se coucher. Mais pendant la nuit Sam se réveilla par un drôle de bruit, il regarda autour de lui mais il ne vit rien. Mais il vit que son armoire commençais a bougé. Il se leva, alla vers l’armoire il l’ouvrit…

Kevin

La page arrachée

Le gamin à ma droite tremblait à en faire tomber les feuilles d’un arbre. La créature devant moi me faisait terriblement peur. Il était grand, il avait de grands bras terminés par de longues griffes. Il s’avançait vers moi à pas lourds. Alors je pris mes jambes à mon cou. L’enfant était petit, je faisais une tête de plus que lui, il transpirait transpirait à grosses gouttes. Il s’en alla vers la forêt qui était derrière nous.
J’allais partir en courant lorsque je me rappelais que le monstre qui se trouvait devant moi
n’était en effet qu’un Pokémon. Alors je sortis la Pokéball de mon sac et je l’envoyai sur
le Pokémon. Puis la Pokéball roula à côté du Pokémon et le monstre se fit aspirer dans la balle, mais il en ressortit. J’allais me faire manger, dévorer pour pourrir ici sans que personne ne se souviennent de moi. Mais non, la créature se fit réaspirer dans la Pokéball et je lâchai un soupir de soulagement.

Louis

La page arrachée

Il entra dans l’eau froide qui lui arrivait rapidement à la taille. Il chercha le regard complice de cette petite qu’il avait tant aimée mais il ne vit qu’un visage livide et des paupières closes pour l’éternité. Il ne pouvait se résoudre à abandonner ce petit corps, à le laisser sombrer. Et pourtant il le fallait. Le corps de cette fillette témoignait de sa violence et de sa santé mentale instable. Elle était une preuve à elle seule. Alors, il la laissa couler en même temps que ses larmes.

À ce moment, il sentit quelque chose se briser en lui. Cette petite était son pilier, sa force et sans elle tout allait s’effondrer, toute la façade qu’il avait construite pour montrer aux gens qu’il était normal et sain d’esprit allait s’envoler en fumée. Sans sa princesse il n’était plus rien, sa vie n’avait plus de sens. Il alla donc chercher des pierres, qu’il mit dans son sac à dos et dans ses poches. Il grimpa sur les rochers qui surplombaient le lac où reposait maintenant sa fille. Il ferma les yeux et se rappela les bons moments passés avec cette petite qui l’aimait toujours même quand il était violent avec elle. Tout à coup, un cri plein de regrets et de larmes jaillit de sa gorge: « Elle n’avait que sept ans ! » Il regarda alors les eaux noires et …

Mathilde

La page arrachée

Tout d’un coup, Adèle se réveilla et essaya de reprendre son souffle. Elle essuya son front en sueur et décida de se lever et d’aller prendre l’air sur son balcon. Le vent soufflait et ses cheveux roux virevoltaient dans le souffle glacial de l’hiver. Elle reprit son souffle et elle décida de monter sur la rambarde et s’assit. Elle pensa à tout ce qui lui était arrivé après que cette personne, aussi indigne qu’elle soit, était entrée dans sa vie. Elle réfléchit au fait que, si elle ne lui avait pas adressé la parole, tous les problèmes qu’elle avait aujourd’hui ne seraient jamais arrivés. Mais un craquement brusque interrompit ses pensées. Elle se retourna, scruta sa chambre. Le vent soufflait de plus en plus fort et ses rideaux volaient dans tous les sens. Elle se retourna, regarda de ses yeux vairons le lampadaire qui clignotait dans l’obscurité. Elle sentit une main sur ses lèvres et elle hurla. Mais c’était trop tard.

Zofia