Dans la peau d’une femme

Retour vers le passé

05.06.2019

C’est 6h50, je me réveille et je me lève. Je vais dans la cuisine de mon appartement et je vois posé sur la table les restes de mon gâteau d’anniversaire. Car oui, hier, j’ai eu 20 ans. Je me prépare pour mon travail qui consiste à servir des gens dans un café. C’est bientôt la grève des femmes et franchement je m’en fiche un peu de cette journée. Pour être honnête, ma vie est déjà assez compliquée pour que je m’occupe de ça. Je suis juste une femme qui s’appelle Enola, qui a 20 ans et qui travaille dans un café comme serveuse. Quelle vie palpitante!
Maintenant, il est 8h10 et je sors de mon appart pourri. J’enfile mes AirPods et j’entends « Everybody got to learn sometime » de « the Korgis ». Génial… la journée commence bien. Tout a coup, je vois un chat qui me parait familier. C’est Gribouillette! Mon chat! Je lui cours après et là…je commence à tomber.
-AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH.
Je hurle de peur. Qu’est-ce-qui m’arrive? Pourquoi je tombe? Et surtout, où est Gribouillette?! Plusieurs minutes s’écoulent. Finalement je commence à apercevoir de la lumière. Je me retrouve dans un champs de blés immense. C’est vraiment étrange tout ça. Et surtout…où sont passés mon jeans déchiré et mon pull-over bleu?! A la place, je me retrouve avec une longue robe en velours rouge, deux gros chignons de côtés torsadés et une grande coiffe. On dirait que je suis revenue au Moyen-Âge!! Je regarde tout autour de moi et je vois au loin une ville. Je traverse le champ et j’arrive devant la ville. Elle est énorme! Et les gens sont tous habillés comme moi. Il y a une fête ? Dans la rue, je vois Gribouillette, je lui cours après et je la prends dans mes bras. Cette ville semble de plus en plus étrange. Personne n’utilise son natel, et on dirait qu’ils ne connaissent pas non plus la douche.
Je vais vers un homme et je lui demande en quelle année nous sommes.

– Mademoiselle, nous sommes en 1562.

Je suis horrifiée. Je suis dans le passé ! Pour combien de temps vais-je y rester ? J’ai super faim, je cherche un magasin dans cette ville. Je tombe sur un petit marché au coin de la rue. Je veux acheter du pain mais je n’ai pas la bonne monnaie. Je repose le pain. Je prends mon téléphone, il est 18h03. Tout à coup, tout le monde me pointe du doigt et crie:

– Sorcière! Au bûcher!

Je me retrouve ligotée sur un tas de bois. Un homme l’allume, je perds tout espoir. On me brûle car je suis une fille étrange, avec un appareil inconnu et que nous sommes au Moyen-Age. Je sens que je brûle, je ferme les yeux pendant un moment. Je les ouvre et à ce moment là je me retrouve au même endroit que hier quand je cherchais Gribouillette.

Kevin et Lena

Dijon, 13 novembre 1916

Cher Antoine,

Ici tout va pour le mieux. Les enfants vont bien, Pierre a perdu sa première
dent. Notre vieille Daisy a malheureusement été réquisitionnée pour la cavalerie et j’ai dû
vendre les vaches. Je vais tous les jours travailler à l’usine mais tout est compliqué
depuis que les hommes sont au front.
Je ne pourrais sûrement pas t’envoyer d’argent ce mois-ci, je n’en ai pas les moyens et je m’en excuse. J’espère que tout va bien pour toi, tu nous manques, aux deux petits et à moi.

Je t’embrasse,

Claire

Le Tabou d’or

Mallon rentre dans la ruine, descend dans un sous-terrain et se retrouve dans un couloir humide, poussiéreux et plein d’araignées. Mallon a horreur des araignées mais il continue d’avancer quand soudain «click». Le garçon vient de déclencher un piège! Une lame part du mur et passe à deux millimètres de sa tête et lui coupe quelques un de ses cheveux bruns et courts. Le jeune homme a très peur mais il continue sa route prudemment. Un peu plus loin, il entre dans une petite salle avec de drôles de dalles sur lesquelles de curieux symboles sont gravés. Mallon pose son pied sur l’une d’elles et des piques jaillissent du plafond et frôlent la tête du garçon! Comment traverser? Et en un seul morceau?

Il a alors une idée. Étant donné que la pièce a été construite il y a plusieurs centaines d’années, les dalles qui mènent à la salle du trône ont été usées par les passages des Mayas. Il suffit donc de marcher sur les dalles les plus usées. C’est ce que Mallon fait. Le garçon arrive à traverser sans encombre. Il rentre alors dans une petite salle au plafond vouté. Ça ce voit que personne n’était passé ici depuis des lustres: le mur à droite de la pièce est à moitié écroulé et toutes les peintures qui jadis devaient être magnifiques sont émaillées et décolorées. C’est alors qu’il trouve ce qu’il cherche depuis si longtemps.

Mallon n’en croit pas ses yeux! Il a devant lui le véritable et inestimable Tabou d’ or des cités perdues de Chichén Itzá du Mexique.
Ne pouvant plus résister, le garçon saisit la petite statuette. Mal lui en prend! Il vient de déclencher le tout dernier piège! Le plafond fatigué s’écroule et une énorme sphère de pierre surgit et se met à rouler en direction de Mallon. Il se met à courir le plus vite possible pour ne pas se faire écraser par cette boule de bowling géante! Le garçon arrive à se glisser juste à temps dans une des nombreuses fissures d’un des murs et laisse la boule de pierre passer. Quelques jours plus tard, Mallon est à nouveau chez lui. C’est ainsi que Mallon devient l’explorateur le plus connu dans le monde.

Arthur

Dans la peau d’une femme

L’enveloppe dans la poubelle

Il est midi trente et je peux enfin prendre ma pause déjeuner. En passant devant le bureau de mon collègue Damien, je m’arrête. Je prends toujours ma pause avec lui. Mais il n’est pas là. Bizarre, je vais voir s’il a laissé un mot sur son bureau, mais il n’y en a pas. En passant devant sa corbeille à papier, je remarque une enveloppe jaune. Oh, mais c’est un bulletin de salaire. Damien la peut-être oubliée. Alors je la prends, mais l’enveloppe est déjà ouverte. Un décompte en tombe. Alors, indiscrètement, je la regarde. En lisant le papier je fais une découverte. Damien, mon collègue et ami, qui fait exactement le même travail et qui a fait les mêmes études que moi est payé 20% de plus que moi! Je prends la feuille et pars à la cafétéria pour montrer ça à Caroline, Mélanie, Josette et Antoinette.

Elles sont toutes les quatre révoltées. Nous nous dirigeons
ensemble dans le bureau du directeur.

– Monsieur le directeur c’est injuste. Pourquoi nous, qui travaillons autant que les hommes, sommes payées 20% de moins que les hommes? nous plaignions-nous.

– Vous êtes des femme alors c’est tout naturel que vous soyez payée moins, mesdemoiselles ! répond le directeur

Alors sans rien répondre nous lui tournons le dos et partons.

– C’est injuste! se plaint Mélanie.

– Nous sommes tout à fait d’accord avec toi, répondent Josette et Antoinette.

– Et toi Annette qu’en penses tu? toi qui nous a montré le décompte ? demande les trois filles.

– Je trouve que c’est injuste comme vous le dites et que c’est outrant. Et il faut faire bouger les choses!

Emma et Edma

Mon protagoniste est mort 2

Heureusement nous avons un deuxième héros.
Celui-ci s’engage également vers une mort certaine…

– QUOI?

Qui a parlé?

– Moi.

Moi qui?

– Le protagoniste.

Tu peux m’entendre!?

– Bien sûr que oui.

Ah je ne savais pas. Ne fais pas attention à ce que j’ai dit.

– Mais tu viens de dire que je vais mourrir!

Non j’ai pas dis ça.

– Bien sûr que oui!

Non

– Si

Non

– Si, je te dis!

Bon d’accord c’est vrai.

– Tu peux me dire comment je vais mourir, ou au moins comment l’éviter!

Je ne peux pas.

– Quoi? Mais c’est toi qui raconte l’histoire,t u dois savoir non?

Oui mais ça va gâcher la fin de l’histoire !

– Tu me le dis maintenant! Sinon…. kulhwf iuhsf éoédhd.

Qu’est-ce que c’est que ça?

– Wéoefhup92eG éOSHFCP9 JIDWO.

Arrête t’es en train de bugger le système!

– N8nav938zn08zn3vp029zn3pvh4m89um

Bon arrête arrête t’as gagné… Je vais te dire comment tu vas mourir…
Mais au prochain épisode!

To be continued…

…Tu vas t’étouffer en mangeant un sandwich.
-QUOI?!

Loghan et Daniel

Black story 3

Un jeune homme qui s’appelait Daniel entra dans un bar. Il commanda un verre d’eau au barman, Arthur. Il portait un polo blanc avec un pantalon de velours beige et un tablier couleur brun sale. Soudain, le barman sortit un pistolet et tira juste à côté de l’oreille de Daniel. Ce dernier le remercia et s’en alla.

Comment cela est-ce possible ?

Anna et Marie

Black story 2

Aujourd’hui, il fait beau et qui dit beau temps, dit balade en forêt !

C’était la devise du promeneur, Pierre. Il prépara donc ses affaires pour faire une petite marche. Pierre partit à midi moins vingt et s’arrêta pour casser la croûte à treize heures. Il repartit. Le promeneur marcha dix bons kilomètres quand soudain, il aperçut un jeune homme, allongé par terre. Il ne bougeait plus. Pierre se précipita vers lui mais se rendit rapidement compte que le garçon était mort. Mais ce qui le choquait le plus, c’était le fait que le jeune homme était en combinaison de plongée, en plein milieu de la forêt.

Comment cela est-ce possible ?

Anna et Marie

Papa je t’aime

Quand j’étais petit, je demandais toujours à maman où était papa. Un jour elle me dit que papa était mort à la guerre mais ce jour-là, j’avais déjà 19 ans alors je me dis que j’allais venger mon père et en faire une fierté. J’attendais avec impatience que l’armée m’envoie une lettre de recrutement. Le 18 février 1939 je reçus ma lettre de recrutement pour l’armée. J’étais fier de la recevoir car j’allais enfin pouvoir accomplir ma vengeance. Le lendemain matin je partis en avouant à ma mère mon intention… J’arrivas le jour-même à l’armée et directement, on me dit que mon père était un très bon caporal et qu’il savait toujours prendre les bonne décisions. J’étais encore plus déterminé.
Le lendemain je commençai mon service à six heures zéro zéro. Chaque jour, je m’entrainais et au bout de six mois d’entraînement, la Direction de l’armée m’envoya sur le terrain. A la guerre. J’allais enfin pouvoir venger mon père pour de bon! Au début, j’étais un soldat mais petit à petit je grimpai les échelons et enfin je devins caporal et en plus je m’étais bâti une réputation de tueur en série en tant que sniper. Ça ne me dérangeais pas, pour venger mon père. Au contraire, je pourrais surprendre l’ennemi en flagrant délit de meurtre. Mais ce n’était pas pour rien que j’avais rejoint cette section: c’était parce que mon père était mort, tué par un sniper allemand. Je voulais donc lui rendre la balle.
Mais je devais aussi protéger mes camarades d’autres dangers. Nous étions en septembre 1940, la Deuxième guerre mondiale avait commencé.

to be continued…

Alexandre

1876

En 1876, à Houston, Texas.
Tard dans la nuit, quelqu’un marchait dans une petite ruelle mal fréquentée. La personne se dirigeait vers la maison des Cubish.
Le père Cubish était le shérif d’une sombre affaire. Cette famille était l’une des familles les plus riches du Texas. La femme du shérif était femme au foyer, elle s’occupait de ses deux enfants. Leur plus jeune enfant, une petite fille, avait cinq ans. Son frère quant à lui, était âgé de neuf ans. Les deux enfants adoraient jouer à cache-cache, ils se cachaient dans toute la maison matin, midi et soir.
Le vendredi 25 août vers 20h, l’assassin rentra dans la demeure. Il attrapa la femme Cubish par le cou et l’étrangla jusqu’à ce que son corps ne soit plus qu’un pantin inanimé. Il se dirigea vers le père et l’éventra d’un coup de poignard. Il vérifia toutes les pièces puis se dirigea vers l’étage.

– Cindy, cache-toi, j’ai entendu des bruits bizarres.
– D’accord, Tom.

L’assassin rentra dans la chambre des enfants, il vit le jeune garçon sur le point d’en sortir, s’approcha de lui et l’égorgea avec le même couteau qui avait servi à éventrer son père. Le sang de son frère gicla à travers la pièce et Cindy, cachée dans l’armoire entre-ouverte reçut le sang de son frère sur sa robe blanche. La tête de la petite fille tournait, tournait et soudain, elle s’évanouit.

Benoît Marina et Erjon

Comparable

Le karma est similaire à une course: si tu n’es pas assez rapide au bout d’un moment il te rattrape.

Les cheveux c’est comme l’espérance de vie de certaines personnes: ils sont parfois longs et parfois courts.

Un humain c’est similaire à un biscuit: les deux se cassent quand ils tombent.

La violence c’est comme l’amour: c’est difficile à expliquer.

L’écriture est semblable à la vie de certaines personnes: elle est déprimante.

Un trajet en bus c’est comme une tortue: c’est lent.

David