Quand j’étais petit, je demandais toujours à maman où était papa. Un jour elle me dit que papa était mort à la guerre mais ce jour-là, j’avais déjà 19 ans alors je me dis que j’allais venger mon père et en faire une fierté. J’attendais avec impatience que l’armée m’envoie une lettre de recrutement. Le 18 février 1939 je reçus ma lettre de recrutement pour l’armée. J’étais fier de la recevoir car j’allais enfin pouvoir accomplir ma vengeance. Le lendemain matin je partis en avouant à ma mère mon intention… J’arrivas le jour-même à l’armée et directement, on me dit que mon père était un très bon caporal et qu’il savait toujours prendre les bonne décisions. J’étais encore plus déterminé.
Le lendemain je commençai mon service à six heures zéro zéro. Chaque jour, je m’entrainais et au bout de six mois d’entraînement, la Direction de l’armée m’envoya sur le terrain. A la guerre. J’allais enfin pouvoir venger mon père pour de bon! Au début, j’étais un soldat mais petit à petit je grimpai les échelons et enfin je devins caporal et en plus je m’étais bâti une réputation de tueur en série en tant que sniper. Ça ne me dérangeais pas, pour venger mon père. Au contraire, je pourrais surprendre l’ennemi en flagrant délit de meurtre. Mais ce n’était pas pour rien que j’avais rejoint cette section: c’était parce que mon père était mort, tué par un sniper allemand. Je voulais donc lui rendre la balle.
Mais je devais aussi protéger mes camarades d’autres dangers. Nous étions en septembre 1940, la Deuxième guerre mondiale avait commencé.
to be continued…
Alexandre