La maison hantée (2)

Il était une fois, dans une forêt lointaine, une maison hantée. Dans cette maison, vivait une vieille dame, elle faisait très peur….
Cette dame était une psychopathe et il lui manquait un oeil. Elle aimait tuer des gens qui visitaient sa maison.
Elle enfermait les personnes qui venaient près de sa demeure.
Elle les enfermait dans une chambre et ils devaient s’échapper au plus vite. S’ils échouaient, ils mouraient.
Ce jour-là se promenaient deux personnes: un homme et une femme. Intrigués, car cette maison n’était pas comme les autres, ils ouvrirent la porte.
Quand ils entrèrent dans la maison, la porte se referma d’un coup et ils se retrouvèrent prisonniers et la température augmenta. Quand ils comprirent qu’ils ne ressortiraient pas de la demeure, la dame était derrière eux avec un sourire diabolique.

Naomy et Leana

Le noël pas comme les autres

Le village était calme, il n’y avait personne dehors. Tout le monde dormait en espérant avoir beaucoup de cadeaux le lendemain matin… Mais une seule personne ne trouva pas le sommeil, Tim. Le benjamin se leva de son lit pour aller en direction du salon; il passa silencieusement devant la chambre de sa soeur cadette et de celle de ses parents. Tim descendit les escaliers, mais en marchant vers le salon, il entendit des gens parler…
– Les petits sont entrain de dormir ?
– Oui, Père-Noël.
– Alors allez voler leurs jouets.
Le benjamin n’eut pas le temps de repartir dans sa chambre que deux petits lutins firent leur apparition.
– Mince! Changement de plan, on laisse les jouets mais on prend les petits. dit le Père Noël qui venait d’arriver dans le couloir.
Tim eut le temps de voir à quoi ressemblait le Père noël. Il n’était pas comme il le pensait…
Puis trou noir…
La cadette se réveilla lentement et vit qu’elle n’était pas dans sa chambre mais dans une chambre toute colorée. Sofia se leva et partit vers un couloir. Elle longea le long couloir et arriva dans une cuisine.
– Coucou Sofia !
– Heu salut Tim… on est où ?
– Vous êtes chez le père Noël et moi.
La cadette n’en crut pas ses yeux. La mère Noël était devant elle avec une assiette remplie de cookies. La mère Noël lui tendit l’assiette, Sofia prit un cookie et le mangea.
– Je suis vraiment désolée du comportement du père Noël. Il est en pleine crise de vieillesse…
Les deux enfants se mirent à rire de plus belle. Ils passèrent la journée à jouer et à rigoler. Le soir, les enfants partirent dormir dans les chambres où ils s’étaient réveillés tantôt.
Le lendemain matin
Tim se réveilla mais remarqua qu’il était dans sa chambre. Il comprit donc que ce n’était qu’un rêve… Il se leva et partit vers le salon.
– Regarde Tim ! dit Sofia en montrant du doigt plein de cadeaux qui étaient sous le sapin.

Il ouvrit le première cadeau et vit le jouet qui était tantôt dans son “rêve“. Mais il y avait aussi une lettre:
Cher Tim,
C’était super d’avoir pu jouer avec ta soeur et toi. J’espère qu’on se reverra l’année prochaine.
Bisous de la mère Noël.
– Donc ce n’était pas un rêve ?! chuchota le benjamin.

Jessica

La maison de la mort

Il était une fois une bande de copains qui s’était donnés comme défi de dormir dans une maison abandonnée. Une nuit, ils décidèrent de partir dans la maison qu’ils avaient repérée deux jours avant. Ils étaient tellement fatigués qu’ils décidèrent d’aller se coucher. Mais un des gars se réveilla durant la nuit parce qu’il avait entendu des bruits. Il décida de sortir de la pièce et de partir chercher d’où venaient ces bruits louches. Le lendemain, ses copains le retrouvèrent décapité dans une autre pièce de la maison. Ils décidèrent de partir de la maison mais la porte d’entrée était fermée. Tout à coup, ils entendirent une fille qui disait en chuchotant: “Vous finirez comme votre ami “ . Ils eurent peur, partirent dans la pièce où se trouvait leur copain décapité. Pour le moment ils ne pouvaient rien faire.
Ils étaient enfermés dans la maison. Trois jours passèrent et ils ne purent manger que des petits insectes et des rats. Et tout à coup ils entendirent cette fabuleuse voix qui disait “ Si vous avez faim mangez votre copain“ et ils commencèrent à découper des petits morceaux de la jambe de leur copain. Et de le griller dans un poêle.

David

Accident

J’étais dans mon jardin avec mes parents et avec le collègue anglais de mon père qui est venu chez nous pour deux jours. Autour de notre maison, nous avions une barrière de trois mètres. Il était 16:43 et on buvait du thé tous ensemble. Soudain, nous avons entendu un bruit bizarre mais on croyait que tout allait bien. Quelques secondes plus-tard, nous avons entendu encore un autre bruit et on a voulu savoir ce qui se passe dehors. Mon père a ouvert la porte qui fait partie de notre barrière, et on a vu une femme couchée par terre. A côté d’elle, il y avait deux voitures cassées. Alors, nous avons compris que le premier « bruit bizarre » était une femme qui avait été frappée par une voiture et le deuxième « bruit bizarre » était une seconde voiture qui avait frappé la première parce qu’elle n’avait pas eu le temps de freiner. La femme n’était pas seule: elle était avec ses enfants et avec ses parents qui étaient choqués. L’ambulance était déjà en route. Mais après je me suis demandé: est-ce que la femme serait sauvée?

Arno

Quatre ans

Quatre ans. Pendant toutes ces années, j’ai toujours entendu « On va y retourner » , « Allez, que cette année et après on repart ». Mais je suis encore ici. Je ne comprends pas pourquoi la vie devient toujours plus difficile, je ne comprends pas pourquoi en été 2015 il a plu toutes les jours. Et je n’arrive pas à aimer un pays. Mais surtout, je ne comprends pas pourquoi on reste ici quand ce serait la même chose de rester là-bas. Toujours des discussion pour comprendre la valeur de l’argent. Mais c’est quoi 10 francs? C’est un papier qui change le monde, qui change les humains, qui change tout.

Maria

C’est quoi l’amour?

Pourquoi l’amour existe-t-il? Sérieux, c’est banal ça, aimer quelqu’un, c’est un peu bizarre. Quand je sors pour aller au foot je vois toujours des couples qui s’embrassent et dans ma tête je me dis: «C’est ça l’amour? »
Ma mère m’a toujours dit d’attendre le vrai amour. Il va arriver un jour… Mais moi je ne veux pas tomber amoureuse, quand je vois mes copines pleurer pour leur petit ami, je me dis:  » Si c’est pleurer pour un garçon, non merci! Je suis bien toute seule. » Sérieux, moi je ne veux pas souffrir. Je ne veux pas pleurer pour quelqu’un qui va aimer une autre que moi. Je suis bien moi avec mon doudou et ma maman qui me donnent déjà assez d’amour. Je ne peux pas avoir l’amour de quelqu’un d’autre à part celui de ma maman ».

Yona

A jamais

L’homme regardait les gouttes de pluie s’écouler lentement de sa fenêtre, telles des larmes. Il observait de ses yeux embrumés l’eau chuter et s’écraser sur le goudron noir. Et il pensait à elle. Sa fille. Sa fille que le monde lui avait arraché bien trop tôt. Alors qu’elle avait à peine huit ans, elle s’était envolée dans le monde des esprits. à tout jamais. Dans les bras de l’homme se tenait un portrait d’elle souriante, inconsciente de la visite de la Mort qui allait venir trop vite. Des larmes glacées coulaient à présent de ses yeux qui reflétaient son chagrin infini que rien ne pourrait jamais combler.

Aude

Le Son

Ce bruit. Ce son qui arrêta tout. D’abord cet hurlement strident de l’alarme. La plainte qui déchirait le doux silence de la nuit. Ma mère qui entrait dans ma chambre en me criant des mots incompréhensibles. Ma famille qui courait en tout sens pour comprendre quelque chose alors que l’alarme nous vrillait les oreilles. Puis, ce bruit. Un long vrombissement, sourd et grave, qui devenait de plus en plus fort à mesure que l’avion se rapprochait. Et ensuite, ce sifflement. Ce sifflement strident qui indiquait clairement ce qui allait suivre. Une explosion. Le toit qui s’écroulait en un grand fracas. Des taches qui dansaient devant mes yeux abîmés. Puis à nouveau. Ce son qui paralyse. à nouveau, ce sifflement, de plus en plus fort, puis, plus rien.

Aude

Le grimelins

Il arrive, il est dans la cuisine, il passe de pièce en pièce. Ce monstre s’arrête devant les escaliers. Il monte à l’étage, plus que quelques mètres et il est dans ma chambre. Je n’en peux plus, j’ai trop peur, je crois que mon coeur va lâcher. Il ouvre la porte, cette silhouette de plus de deux mètres me fixe avec son regard sanguinaire. Il s’approche et…
Ah non c’est papa!

Maxim et Basile

La Bête

Elle était là, devant moi. Rapide, très rapide, parce qu’elle avait faim, très faim. J’étais bloquée, paralysée, incapable de bouger. Elle laissait une trace visqueuse sur le sol poussiéreux. Elle s’approchait de plus en plus, de plus en plus rapidement. Trois mètres. Deux mètres. Un mètre. 50 centimètres. Sa gueule ouverte. Ses crochets. Le venin. Et plus rien…

J’ai écrit ce texte parce que chez moi, j’ai un boa constricteur. Je déteste ça, j’ai envie de disparaître de ce monde quand le serpent se promène dans la maison, tellement il m’inspire de la peur.

Nadia