Et c’est lorsque ta présence me rend faible, lorsque ton sourire m’envoie aux larmes, lorsque je me rends compte que tes regards ne me sont pas adressés, lorsque la lune me fait face et qu’à mes cotés tu n’es pas, que je dors.
Je tire sur cette couette comme tu a tiré sur mon coeur, lui qui se dégrade peu à peu comme les plumes de ce coussin qui accompagnent chacune de mes souffrances.
Car désormais tu es la nicotine de mes cauchemars, car désormais je m’aveugle dans la fumée de ce lit et c’est la raison pour laquelle je tombe dans un sommeil éternel.
Lorenzo